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  • [DVD] Les Nouveaux chiens de garde

    Synopsis

    Les nouveaux gardiens de l’ordre établi sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques. Lorsque l’information est produite par les grands groupes industriels du CAC 40, la presse peut-elle encore jouer un rôle de contre-pouvoir démocratique ?

    En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi.

    Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, LES NOUVEAUX CHIENS DE GARDE dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, se prétend contre-pouvoir démocratique. Avec force et précision, le film pointe la menace croissante d'une information produite par des grands groupes industriels du CAC 40 et pervertie en marchandise.

    Bonus

    • Teasers du film
    • Biographies des réalisateurs
    • Galerie photos
    • Bande-annonce du film
    • Inclus dans le DVD : la carte du "Parti de la Presse et de l'Argent" ainsi que plusieurs articles sur la critique des médias

    Presse (1)

    « Affirmer que j’aurais pu être complaisant à l’égard de tel ou tel est tout simplement une ineptie. […] Ont-ils mis une fois le pied dans une rédaction, les auteurs de ce brûlot, qui font le procès de celles et ceux qui travaillent chaque jour à la fabrication de l’information ? » Laurent Joffrin interviewé par L'Express, 16 janvier 2012

    « Pourquoi faut-il que les auteurs, au discours entaché de relents marxistes, sombrent dans le politiquement correct qu’ils entendent dénoncer en décrétant qu'insécurité et immigration sont des sujets artificiellement gonflés par les médias pour détourner l’attention de la question sociale ? À chien de garde, chien de garde et demi. » Valeurs actuelles,12 janvier 2012

    « Montage d’archives, témoignages à charge et discours-maître en voix off constituent une structure peu favorable à l’expression du pluralisme des opinions et de la complexité du réel. […] L’on sait trop quelle valeur de généralisation peut avoir un exemple de mauvaise conduite professionnelle, dès lors qu’on tait par ailleurs les exemples de vertu qui pourraient le relativiser. » Le Monde, 11 janvier 2012

    « Les Nouveaux chiens de garde épingle ménages et collusion des journalistes, mais oublie Sarkozy. » Libération, 11 janvier 2012

    « Les principaux accusés, Laurent Joffrin (Le Nouvel Observateur), Nicolas Demorand (Libération), Michel Field (Europe 1, LCI) et Denis Olivennes (Lagardère), ne sont pas invités à se défendre. […] Ce ball-trap sur grand écran vise juste parfois. Mais sa charge se révèle beaucoup trop manichéenne pour convaincre. » Le Figaro, 11 janvier 2012

    « À vouloir considérer que tous les patrons de presse sont à mettre dans le même panier, au nom du poste qu’ils occupent et du titre qu’ils dirigent, c’est un peu court. Pour parler de ce que je connais, en l’occurrence de Christophe Barbier, les auteurs de ce film savent-ils qu’il a été jusqu’à une période récente persona non grata à l’Élysée, car blacklisté par Nicolas Sarkozy ? […] Il y a là des raccourcis étranges, une méconnaissance grave des journalistes visés, des amalgames dérangeants et, pour tout dire de ce film, des procès en sorcellerie et un climat de chasse au journaliste détestables. » Renaud Revel, L'Express, 11 janvier 2012

    Presse (2)

    « La parole est forte, le débat est vif » L'EXPRESS

    « Une démonstration éclatante » L'HUMANITÉ

    « Une critique des médias […] un sacré coup de fouet » TÉLÉRAMA

    « Un documentaire combatif et argumenté » LE CANARD ENCHAÎNÉ

    « Une démonstration implacable » LES INROCKUPTIBLES

    « Une critique des médias tordante et parfaitement rythmée » PREMIÈRE

    « Mordant » AUJOURD'HUI EN FRANCE

    « Édifiant et stupéfiant » LES ÉCHOS

    « Un documentaire drôle et édifiant » 20 MINUTES

    « Met enfin, avec humour et lucidité, les pieds dans le PAF » À NOUS PARIS

    « La parole est forte, le débat est vif » L'EXPRESS

    « Un documentaire qui fait du bien là où ça fait mal » CAUSETTE

    « Un sens pédagogique et une qualité du travail d’archives et de montage » STUDIO CINÉ LIVE

    « Un film de combat très efficace » ROLLING STONES

    « Un film percutant » LA NOUVELLE VIE OUVRIÈRE

    « Un film polémique qui risque d’irriter le monde des médias » LA TRIBUNE

    « Un spectacle jubilatoire qui donne froid dans le dos » LES FICHES DU CINÉMA

    « Un pamphlet malin » TROIS COULEURS

    18,40 €
  • [Livre] « Au nom de la démocratie, votez bien ! »

    Présentation du livre

    Les médias ont orchestré l’essentiel de la dramaturgie politique du second tour des élections présidentielles de 2002 et de 2017. Au débat démocratique qu’ils chérissent tant – et qu’ils piétinent si allègrement –, ils ont préféré asséner leurs leçons de bienséance républicaine, de morale civique et de tactique électorale aux électeurs déviants.

    En collaboration avec les communicants politiques, les médias fixent l’agenda électoral, influent sur ce à quoi il faut penser et disposent du pouvoir de consécration (ou de stigmatisation) des candidats. Ce journalisme de prescription des choix électoraux légitimes et d’écrasement des opinions dissidentes, on l’a déjà connu en 1992 et en 2005 avec les référendums sur le traité de Maastricht et sur le Traité constitutionnel européen.

    S’ils ne font pas toujours une élection, les médias cherchent à imposer un choix qui semble inéluctable. Le choix des maîtres. En 2002 et 2017, le rappel à l’ordre médiatique de l’entre-deux-tours eut pour fonction d’effacer le désastre du premier tour : « La récréation est finie ! Au nom de la démocratie, votez ! Mais surtout, votez bien ! »

    Index du livre


    Prélude


    Acte I : Le choc

    Tous coupables ?

    Le vote « utile »

    Matraquage sécuritaire

    L’entrée des artistes


    Acte II : La mobilisation

    Laminer Le Pen

    Tous résistants !


    Acte III : La culpabilisation

    Le retour des Munichois

    Les guets-apens

    Le mépris


    Dénouement : « Le jour de gloire est arrivé »


    L'auteur : Mathias Reymond

    Économiste, enseignant à l’université de Montpellier, Mathias Reymond co-anime l'association de critique des médias Acrimed.

    Il est également co-auteur de L’Opinion, ça se travaille… Les médias et les « guerres justes » (Agone, 2014), Les Éditocrates, ou Comment parler de (presque) tout en racontant (vraiment) n’importe quoi (La Découverte, 2009) et Tous les médias sont-ils de droite ? (Syllepse, 2008).

    Extrait de l’introduction

    Le 21 avril. La date est devenue un nom commun. Commun aux partis politiques et aux médias pour décrire une crainte : celle de revivre un 21 avril. À l’envers pour la droite. Et à l’endroit pour la gauche. Comme le 11 Septembre, il est inutile de donner l’année, on la connaît. Cette formule, « le 21 avril », désigne la peur de voir accéder, une fois encore, un candidat de l’extrême droite au second tour de l’élection présidentielle.

    En 2002, donc, la chute de Lionel Jospin au premier tour, l’arrivée de Jean-Marie Le Pen au second et la victoire – assurée – de Jacques Chirac donnèrent lieu à deux semaines d’agitation médiatique et politique où l’irrationnel ravitaillait l’escroquerie. Quinze jours d’incantation, d’accusation, de culpabilisation, de condamnation, de moralisation, d’incitation… Une période unique dans la Ve République.

    Unique ? Presque. Quinze ans plus tard, rebelote. Cette fois, le public est rodé. Il connaît la chanson. En avril 2017, Marine Le Pen accède au second tour face à Emmanuel Macron. Exit François Fillon, le candidat de la droite dure. Exit Jean-Luc Mélenchon, le candidat de la gauche de gauche. L’agitation est moindre et la propagande plus policée, mais elle s’organise – sans concertation – contre un acteur qui excelle dans le rôle du méchant : Jean-Luc Mélenchon. Celui qui ne donne pas de consigne de vote. Celui qui ne joue pas le jeu républicain. À quelques nuances près dans les paroles et la partition, c’est la même chanson.

    15,00 €
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    • rédigé un livre sur le traitement médiatique de la gauche (paru en 2023) ;
    • co-organisé avec Visa une Journée publique d'information et de débats contre la banalisation médiatique de l’extrême droite ;
    • organisé un Jeudi d’Acrimed consacré au livre de Dominique Pinsolle À bas la presse bourgeoise ! Deux siècles de critique anticapitaliste des médias ;
    • coproduit 3 podcasts (dont deux diffusés sur Radio Cause Commune), disponibles sur le site d’Acrimed et sur la plateforme de podcasts Spectre ;
    • effectué 23 interventions dans des débats sur les médias et 3 dans des établissements scolaires ;
    • répondu à 9 sollicitations de médias (dont L’Anticapitaliste, Blast, Arrêt sur images, NVO et Le Média) ;
    • participé à 6 manifestations (dont celles du 1er mai, contre la suppression de la redevance, en soutien à Assange, contre la vie chère et l’inaction climatique, etc.) ;
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  • [Livre] Les Médias contre la rue

    Présentation du livre

    Pionnière de la critique radicale des médias, l’association Acrimed (Action-Critique-Médias) dresse le bilan de vingt-cinq ans d’observation sur son terrain de prédilection: les mobilisations sociales et les mauvais traitements que les médias dominants leur font subir. De décembre 1995 à la dernière réforme des retraites en date, en passant par le Contrat première embauche de Villepin, la loi Travail ou le mouvement des Gilets jaunes, l’ouvrage passe au crible un quart de siècle de morgue et de mépris, disséquant avec humour la façon dont les médias dominants s’acquittent de leur mission de maintien de l’ordre social.

    21,00 €
  • [ Nouveau livre ] Les médias contre la gauche

    « Service après-vente zélé des politiques gouvernementales et consécration enthousiaste du grand "réformateur" ; banalisation des thèses de l’extrême droite et légitimation de ses représentants ; mutilation permanente du débat socio-économique ; journalisme de préfecture applaudissant la répression des mouvements sociaux et promouvant le durcissement de l’autorité de l’État ; tirs de barrage constants contre la gauche dans toutes ses composantes et, en particulier, contre ses franges les moins solubles dans le réformisme. » Revenant sur certains des épisodes médiatiques les plus emblématiques des cinq dernières années, ce livre, qui s’appuie sur le travail d’observation et d’analyse réalisé par Acrimed, est le produit d’un engagement collectif.

    Il donne à voir à quel point les médias dominants, en situation d’interdépendance étroite à l’égard des pouvoirs politique et économique, contribuent à mutiler le pluralisme et le débat démocratique. Dirigés et contrôlés par des chefferies éditoriales sociologiquement solidaires des intérêts et des points de vue des classes dirigeantes, ces médias jouent un rôle actif dans l’histoire sans fin de la droitisation du débat public depuis quarante ans. Un processus qui s’est encore accéléré au cours du premier quinquennat d’Emmanuel Macron, en même temps que se dégradaient les conditions d’expression et d’existence médiatique de la gauche.

    18,00 €